L’exposition Danse(in), récits de migration est le fruit d’une année de travail dans les centres d’hébergement collectif pour migrants des Tattes (Vernier), de Rigot (Genève), d’Anières et de Praille-Gavard (Carouge). 

Danse(in), récits de migration retrace le travail accompli lors des ateliers, des performances et autres activités réalisées dans le cadre du projet, en mettant à l’honneur le cœur du projet : ses participants. Cet événement hybride célèbre la diversité des créations au travers d'œuvres puissantes et intimes dans un espace qui appréhende la migration comme une expérience commune.

L’exposition a permis de découvrir de nombreuses photographies, mises en scène ou prises sur le vif, réalisées par Jean-Baptiste Bucau et Sherkhan Borghini; une série de 10 portraits intermédias intitulée “ça aurait pu être pire”, réalisée par Brice Catherin, qui présente des échantillons d’histoires évoqués lors de rencontres informelles; de multiples objets en céramiques réalisés lors d’ateliers organisés par le Musée Ariana ou encore de magnifiques poèmes sonores ou podcasts réalisés par Sebastiao Victor Da Silva Ambrosio et Leonard Elobo.

Un parcours sur deux étages qui a permis aux nombreux visiteurs de pénétrer l’instant d’un temps suspendu, au coeur de la sensibilité des migrants qui se sont prêtés au jeu du projet Danse(in).

 En partenariat avec le FIFDH, l’exposition Danse(in), récits de migration a eu le plaisir d’accueillir une partie de la programmation du festival. Le Centre d’Intégration culturelle de la Croix-Rouge genevoise a dévoilé une bibliothèque éphémère au sein de notre exposition qui était aussi l’occasion de découvrir Consens:us, la dernière performance de Ioannis Mandafounis qui explore le thème de la migration.

L’exposition photographique réalisée par Jean-Baptiste Bucau est à admirer aux Bains des Pâquis du 7 juin au 8 septembre 2021.

Une exposition photo a été réalisée dans le cadre de notre partenariat avec les Bains des Pâquis. Conçue à partir des photographies prises lors des ateliers artistiques réalisés dans différents centres d’hébergements collectifs pour migrants du Canton genevois, l’exposition retrace l’engagement des bénéficiaires de l’Hospice général dans notre projet.

Pendant trois mois, des milliers de baigneurs, de touristes ou encore de passants ont pu admirer cette sélection de photographies agrémentées de quelques textes écrits par des migrants.